#SignForHunting
L’AVENIR DE LA CHASSE ET DE LA RURALITÉ EST MENACÉ
La chasse aux oiseaux, l’habitat du gibier, la gestion des grands carnivores, les cultures de chasse en Europe et nos incitations à conserver la nature sont menacés par l’élaboration de politiques problématiques.
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Appel à l’action de Willy Schraen, Président de la FNC
Sauvons la chasse et les traditions françaises du diktat de Bruxelles. L’Europe joue à un jeu dangereux en sacrifiant de manière délibérée l’avenir des 7 millions de chasseurs européens. Ses décisions dogmatiques, hors-sol et infondées mettent en péril des territoires ruraux déjà fracturés, nos traditions et notre art de vivre. Signer cette pétition, c’est dire aux instances européennes que la coupe est pleine afin qu’elles retrouvent la raison et laisse enfin respirer les ruraux. Face à l’urgence, mobilisons-nous!
L’Europe a la main mise sur de nombreuses décisions qui impactent directement les pratiques de la chasse, nos traditions et leurs déclinaisons au sein de nos territoires ruraux. Face au dogmatisme de Bruxelles:
Imposons une vraie gestion adaptative non dogmatique, seul outil de bon sens pour la conservation des espèces en déséquilibre ou en surnombre qui assurera à chaque citoyen européen une Europe riche en biodiversité grâce au suivi de toutes les espèces chassables ou non. Halte au dogmatisme en la matière, les espèces surabondantes, comme les oies par exemple, doivent pouvoir être chassées plus largement.
Faisons confiance aux chasseurs et aux ruraux, acteurs de terrain, dans le cadre des politiques environnementales y compris dans les zones protégées et de protection renforcée. Luttons contre cette nature sous cloche qui détruit les écosystèmes qui ont besoin de la main de l’homme pour leur équilibre ! Nous ne voulons pas 10 % d’aires protégées renforcées sans pêche, ni chasse, sans activité sylvicoles et agricoles, ou de façon plus générale sans aucune activité humaine.
Stoppons le harcèlement des ruraux ! Arrêtons les passages en force de la Commission européenne, comme sur l’interdiction du plomb, qui ne tiennent pas compte des conséquences pour les activités humaines qu’elles soient passionnelles ou économiques.
Utilisons l’argent de l’Europe pour agir concrètement en faveur du petit gibier et son habitat dans le cadre d’une législation européenne efficace et adaptée.
Osons une approche humaniste de la chasse qui intègre nos spécificités régionales, nos traditions et modes de vie.
Utilisons les technologies les plus récentes pour obtenir des données crédibles (comptage des grands carnivores) tout en faisant preuve de souplesse dans les procédures d’inscription de la directive habitat Faune-Flore.
Réclamons des lois, règlements et directives qui laissent des marges de manœuvre à chaque pays et tiennent compte de l’impact de ces décisions sur les territoires.
Exigeons le maintien de nos chasses traditionnelles et patrimoniales car le respect de notre patrimoine rural et culturel est essentiel au maintien de la diversité des modes de vie des citoyens européens.
Demandons l’inscription de nos pratiques et nos modes de vie rurale au patrimoine mondial de l’UNESCO avec le soutien clairement affiché de la Commission Européenne.
DONNEZ UN AVENIR A LA CHASSE ET A LA RURALITÉ
L’Europe prend une part prépondérante dans les politiques liées aux pratiques de la chasse et de leurs applications sur nos territoires nationaux.
Nous voulons une Europe riche en biodiversité pour chaque citoyen européen par une gestion adaptative, outil pertinent pour la conservation de toutes les espèces.
Nous voulons une politique environnementale européenne qui encourage les actions au service de la biodiversité menées par les chasseurs, y compris dans les zones protégées mais nous ne voulons pas d’une nature sous cloche avec 10% d’aires protégées renforcées sans pêche, sans chasse, sans activités sylvicoles et agricoles !
Nous voulons une législation européenne environnementale qui agisse concrètement en faveur de l’habitat du petit gibier sur les zones humides et les terres agricoles, notamment par la mise en place d’incitations fiscales.
Nous voulons que les chasseurs, en matière de sauvegarde de la biodiversité, soient reconnus comme source de la solution et non cause du problème. La commission européenne et la DG de l’environnement doivent arrêter de nous harceler systématiquement par exemple sur la question du plomb dont l’interdiction est prononcée sans concertation ni période de transition compatible avec l’adaptation de l’outil industriel.
Nous voulons des comptages des populations de grands carnivores plus précis, faits sur la base de critères adaptés notamment par l’utilisation de la génétique et une procédure d’inscription plus flexible à la Directive Habitats Faune-Flore.
Nous voulons une approche objective et scientifique de la chasse qui intègre nos spécificités régionales.
Nous voulons que les lois, règlements et directives qui concernent la chasse soient justes,conformes aux principes de subsidiarité et proportionnels à l’impact de ces décisions sur les filières touchées.
Nous voulons que notre patrimoine rural et culturel soit respecté car il est essentiel au maintien de la diversité des modes de vie des citoyens européens. Nous voulons le maintien de nos chasses traditionnelles et patrimoniales.
Nous voulons que Bruxelles joue de son influence pour porter nos pratiques et nos modes de vie au niveau mondial avec l’inscription de celles-ci au patrimoine mondial de l’UNESCO.
CONSTAT
Le constat est unanime : la biodiversité est en danger dans le monde. Les chasseurs européens agissent en responsabilité au service de cette nature menacée en menant, au quotidien, des actions de préservation des écosystèmes.
Cependant, force est de constater que certaines instances Bruxelloises sont de plus en plus hostiles à la chasse et aux chasses traditionnelles. Elles considèrent la chasse comme l’une des principales menaces pour la nature, malgré les preuves manifestes du contraire.
Certains modes de chasse sont donc dans le collimateur de Bruxelles. Supprimer certaines de ces pratiques régionales en Europe devient progressivement une réalité. Il a même été proposé à Bruxelles de mettre fin à la chasse et à la pêche sur 10% du territoire européen.
Par ailleurs, des pressions sont exercées par certains décideurs européens éloignés de la réalité du terrain pour suspendre, dans certains pays, la gestion des grands carnivores par les chasseurs, pourtant demandée par les éleveurs. Si ces pressions étaient couronnées de succès, ce serait alors toute l’Europe qui serait dans l’impossibilité de faire coexister l’homme et les grands prédateurs.
🇪🇺 Comment Bruxelles exerce un impact sur la chasse
Le statut de la biodiversité des terres agricoles en Europe
Les oiseaux que nous pouvons chasser
Les moments auxquels nous pouvons chasser les oiseaux (« saisons de chasse »)
Les méthodes de chasse
La façon dont nous pouvons ou non gérer les grands carnivores
Les armes à feu que nous pouvons utiliser
Le type de munitions que nous pouvons utiliser (imminent)
Les activités de chasse régionales et nos traditions/ notre patrimoine culturel
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À PROPOS DE LA FACE
La FACE est la Voix des chasseurs européens
La Fédération européenne de chasse et de conservation (FACE) qui représente les intérêts de 7 millions de chasseurs en Europe, est en charge de cette campagne.
La FACE est la plus grande structure de représentation démocratique des chasseurs au monde et l’une des plus grandes organisations européennes de la société civile.
FACE – Rue Belliard 205 – 1040, Bruxelles
info@face.eu – www.face.eu
